Par contre, s'il s'amuse à financer Herzog ou ici Bong Joon-ho on va déjà plus dans le bon sens que lorsqu'on l'on pond War Machine. cinephile-critique.over-blog.com. Certaines scènes sont assez choquantes mais au final tellement réalistes de ce qu'il se passe réellement dans ce monde sur l'abattage des animaux en masse, sans aucun respect. Lire l'avis à propos de Okja, Je l'ai attendu hier ! Directed by Duncan Jones. Bref Okja reste une petit fable autant inoffensive que malaisante, où malheureusement le pire l'emporte. Abonne toi, l'internet et le cinéma c'est cool.Alors abonne toi copain. Steven Yeun, Paul Dano, Lily Collins...tous sont très bons en membres activistes de l'AFL. Un dieu qui ne vaut pas... free. — SensCritique (@SensCritique) 22 juin 2017 A Nantes, Okja sera projeté deux fois ce mercredi 28 juin, jour de son dévoilement au grand public. Son goût de l’hybridation des genres s’est aussi doublé de celui des plate-formes d’expression : conspué par les gardiens du temple à Cannes avec Okja, champ de bataille de l’Hernani moderne de Cannes 2016 avec The Meyerowitz Stories, revenu porté en triomphe trois ans après avec Parasite. Astronaut Sam Bell has a quintessentially personal encounter toward the end of his three-year stint on the Moon, where he, working alongside his computer, GERTY, sends back to Earth parcels of a resource that has helped diminish our planet's power problems. Voyez-le! Le message, tout d'abord, est clair et Bong Joon Ho ne prend pas le parti de la finesse pour exprimer son dégout d'une société de consommation rongée par l'ultra communication et la déconnexion complète de l'homme et de la nature. Des films qui ont cette audace là, qui plus sont réalisés par des gars comme Bong Jung-Ho, eh bah ça ne devrait pas pouvoir se bouffer ce mur de conneries qu’est la chronologie des médias ! Lorsque la puissante société Mirando, la compagnie à l'origine du projet, souhaite reprendre Okja à des fins mercantiles, Mija décide de parcourir la Corée, puis le bout du monde (aidé par l'AFL, défendant les animaux) pour sauver sonami. Critique : OKJA (Netflix) **** Pitch Pendant 10 ans, la jeune Mija s’est occupée sans relâche d’Okja, un énorme animal au grand cœur, au beau milieu des montagnes de Corée du Sud. Reprenant certaines des questions soulevées dans The Host, la créature résultant des... Une petite fille devient ami avec un cochon fabriqué génétiquement appelé Okja. En plus de ces personnages caricaturaux à l'extrême, le réalisateur fait le choix d'un humour pipi caca qui rajoute encore de la lourdeur au propos. Tilda Swinton est fidèle à elle-même, dans un rôle de PDG prête à tout, très proche de celui qu'elle tenait dans Snowpiercer du même réalisateur. 33 abonnés Lire l'avis à propos de Okja, Okja est un conte : à partir du moment où l’on accepte ce présupposé, on peut être en mesure de l’apprécier. Vraiment. Archives du mot-clé okja. Petites anecdotes cinématographiques (Le saviez-vous ?). Okja est aussi associé à un tourbillon d'émotions. SensCritique vous permet de découvrir, noter et partager des films, séries, livres, BD, jeux et musique. J'aime bien les films où c'est trop bien fait. Lire la suite, Le peuple hébreu venait d'être libéré de l'esclavage. C'est un très bon et joli film, mais il y a quand même pas mal de longueurs notamment au début de la seconde heure qui empêchent de vivre pleinement et intensément cette aventure pleine de péripéties qui manque également de surprise. Or moi, autant je rejoins tous ceux qui se sont ulcérés du sort réservé au film de Bong Joon-ho, autant je prendrais mes distances à l’égard de tous ceux qui le qualifieraient de chef d’œuvre méprisé. Ca ne laisse pas le choix. Mais lorsque la taille du cochon prend des proportions gigantesques, la multinationale responsable de sa création décide de le prendre, forçant la petite fille maintenant adolescente à partir en mission afin de le... Avec Okja, le réalisateur sud-coréen est de retour avec un nouveau pamphlet. Finalement interdit dans les salles françaises après sa controverse au dernier Festival de Cannes, « OKJA » est un électrochoc sensationnel bien plus frappant que dérangeant. C'est un conte et en même temps une alarme, qui prend des éléments effectivement pas vraiment neufs, mais en construit quelque chose de puissant et de Beau, au sens large du terme. Certes, je n’ai pas trop aimé ce dernier film, mais quand même : merde ! TOP: LES MEILLEURS FILMS DE 2017. The film was acclaimed by critics, with many praising Mulligan and Gyllenhaal's performances. Un genre de fable écologiste à la Avatar avec des gros sabots, qui saute allégrement et a pieds joints dans tous les clichés les plus ridicules. SensCritique 41,745 views. A teenage boy must deal with his mother's complicated response after his father temporarily abandons them to take a menial and dangerous job. Préférences cookies | Lire ses 366 critiques, Suivre son activité Difficile de faire moins anodin pour qui se tient informé de l’actualité du cinéma ! Dévastée, Mija se lance dans une aventure des plus périlleuses pour tenter de ramener son ami à la maison… La Critique de Okja : Joon-Ho Bong se doutait-il que la sélection de son nouveau film en compétition officielle au Festival de Cannes allait provoquer un tel Tout est très grossier, à commencer par les personnages de "méchants" surjoués par Tilda Swinton et Jake Gyllenhal tout deux insupportables, ainsi que l'assistante à lunettes dont l'actrice semble provenir d'un théâtre amateur. (Cela est probablement voulu pour le scénario, mais le résultat est assez navrant). Une nouvelle réussite d'un des meilleurs réalisateurs de notre époque. Dans une volonté d’établir petit à petit une réflexion sur la violence animal, Joon-Ho Bong entame au beau milieu du film la brillante (et perverse…) idée de confronter le Docteur Johnny Wilcox et OKJA dans une cellule semblable à un numéro de « Saw ». Comme la qualité de la réalisation et de l'image. Les innovations artificielles sont donc nombreuses pour assouvir ces incapacités, dont OKJA, ce « Super Cochon » pensé pour rassasier une partie des vivre de la planète… : With Aaron Paul, Jonathan Banks, Matt Jones, Charles Baker. Si la plupart des cinéastes évite tout manichéisme, Bong Joon-Ho ne fait pas dans la demi-mesure et choisit son camp. Face à cela, Mija et son grand-père démontrent un bonheur simple et sincère, en pleine montagne et loin de ce monde emprisonné par le capitalisme. "Okja" est divertissant, amusant, léger, touchant et attendrissant du moins pendant une grande partie parce que la dernière est plus réaliste et difficile même si cela n'empêche pas de voir des actes pleins d'humanité, mais pas forcément de la part de ceux qui devraient en montrer. Harmonisé par une verdure d’exception, le métrage commence avec une zénitude en pleine forêt au cœur des montagnes. Les animaux maltraités se retrouvant tous dans des enclos barbelés, l’inspiration culottée des camps de concentrations de la Seconde Guerre Mondiale traduit une des polémiques autour du film. 200 abonnés N'en déplaise au service gériatrie du festival de Cannes. Directed by Vince Gilligan. On est certes dans la fable mais on pouvait peut être faire ça avec un minimum de subtilité. Le film n'est pas non plus dénué de suspens, il faut dire qu'il sait y faire, je me suis souvent demandé comment ils allaient pouvoir s'en sortir, même s'il y a des victoires qui ont plus des goûts de défaite et je dois dire que l'avant-dernière séquence est vraiment déchirante. La cause de "Okja" est noble : dénoncer le massacre des animaux dans les usines et l'hypocrisie des lobbies pour étouffer ce qui s'y passe. Certes, il y avait de l’audace dans ce début d’intrigue et une belle part laissée à une jolie folie, ce qui garantissait un spectacle un peu hors-norme. On passera outre sur les quelques lamentables scènes pipi-caca, ou comment prendre les spectateurs pour des débiles profonds ? Based on the bestselling comic book, Vin Diesel stars as Ray Garrison, a soldier recently killed in action and brought back to life as the superhero Bloodshot by the RST corporation. In December 2018, the film received award for "Best Film" at the 36th Torino Film Festival. Bong Joon-Ho, avec The Host, avait déjà fait ses preuves en la matière, puisqu'il avait réussi à donner des airs de brûlot politique à son blockbuster. Je trouve le film assez complet dans le panel d'émotion qu'il fait vivre, mais également dans son discours, il semble s'en prendre aux multinationales, mais également à leur "greenwashing", tout en dénonçant certaines actions des militants écolos qui pour mieux dénoncer laissent souffrir des animaux. 4.5/5. Il y a notamment une scène d'amour entre des parents « super cochons » et l'acte qu'ils vont effectuer pour sauver leur bébé, elle m'a touché en plein cœur. 1. Le pire dans tout ça, c'est de se coltiner cet immense cochon mutant fan des vieux Disney. ), ce film n'a pas que des qualités (traîne en longueur-s, montage pas toujours cohérent.... par exemple - où l'on retrouve donc nombre des défauts d'un "Memories of Murder", du même cinéaste....), mais le message porté est essentiel (quelle leçon pour les créatures soi-disant les plus achevées de la Création, les humains..... ne serait-ce que dans l'acte sublime d'amour de la pauvre mère, Bong Joon-ho revient, 4 ans après son dernier film, pour nous livrer une belle satire sur l'industrie agro-alimentaire,dans un film d'aventure extrêmement touchant nous racontant l'histoire de Okja, un super-cochon génétiquement modifié, nouant une relation d'amitié très forte avec Mija, une enfant sud-corréenne l'ayant élevé pendant 10 ans. La plus grande faiblesse est son traitement. Toute la critique et bien plus encore sur Cinephilion.net ! La vraie force du film repose dans sa mise en scène : le cinéaste coréen prouve encore une fois qu'il est le grand maître de la fluidité et filme avec brio (quelle lumière, quelle fluidité!). Les critiques dithyrambiques sont pour moi incompréhensible. La polémique ridicule accompagnant le film au festival de Cannes aura au moins eu un aspect positif. YHWH était avec eux et les guidait. Et puis il y a cette tension limite poétique, comme lorsque Paul Dano regarde la gamine et lui dit de ne pas se retourner, tout est là... Fugitive Jesse Pinkman runs from his captors, the law, and his past. modifier Sense8 est une série télévisée américaine de science-fiction en 24 épisodes, créée par les Wachowski et Joseph Michael Straczynski et diffusée entre le 5 juin 2015 et le 8 juin 2018 sur la plateforme de vidéo à la demande Netflix .